La Mume (le blog)

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CE NE FÛT PAS…

Un feu d'artifice !

artifice
Non, ce fut mieux que cela…
Je commençais d'y croire vraiment lors de l'enregistrement de mon billet, et puis débarquée là bas, il était là, m'attendant.
Nous étions ensemble en terre étrangère, très peu étrangère, juste de quoi vivre un moment hors de son temps à lui, une coupure dans la routine bien huilée des retraités que nous sommes.
Son émotion était vive, troublé il nous promena deux heures à la recherche d'une auberge repérée sur internet, sans succès.
Enfin un panneau, un hôtel, dans notre refuge dépouillé de ses vêtements je constatais à quel point son psychisme tenait les commandes, couvert de grandes plaques rouges, façon urticaire géant !
Après que j'eus pris bien "soin" de lui, sa peau, elle aussi apaisée retrouva une couleur plus banale !
Parce que la sécurité des aéroports est pointilleuse je fus fouillée à corps tellement je sonnais de partout, faut dire que j'avais un maximum de ferraille sur le dos, boucles d'oreille, bracelet, collier, montre, fermeture à glissière métallique sur le pantalon, armature de soutif elles aussi de métal !
Pendant ce temps mon sac passait à la radiographie sans soucis, enfin, jusqu'à ce que je veuille le récupérer.
Un employé y jetât un regard, ouvrit la petite pochette jaune contenant le matériel indispensable pour les joutes programmées, soit un superbe flacon de lubrifiant à la silicone !
Après avoir lu consciencieusement le mode d'emploi, il le logea dans un sachet plastique sans l'ombre d'un sourire, moi je m'étouffai à force de le contenir, le rire.
Nous déjeunâmes sur le balcon en regardant la piscine hélas hors d'eau.
Les fleurs abondaient, des camélias surtout, température d'été ,28°.
Une sieste nous requinquât assez pour un dernier tournoi.
Déjà c'était fini.
Retour à l'aéroport, où j'attendis trois heures le vol de retour, pendant que lui, traçait la route du devoir conjugal en fignolant l'histoire qu'il servirait en réponse aux questions qui ne manqueront pas !
Retour à Orly, grand embouteillage pour cause de bagage abandonné, flics, armée en patrouille.
Y. m'y avait conduit le matin et c'est Voisineauxqutrechats qui vint m'y chercher, elles sont sympa mes copines !
ON NE VIT qu'une fois me disent-elles et j'approuve.

Commentaires

1. Le jeudi, avril 7 2011, 21:15 par Alain lo Grelh

Alors bon courage pour le retour sur le plancher des vaches et un bisou et vive la vie