La Mume (le blog)

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GYNECEE (3)

Ce matin voyez comme cela est curieux j’eus du mal à mettre (la bête) sur pieds !
Languissant entre mes draps, je me souvins du jour d’avant, des rires, des techniques de cuisine en plein air "à l’ancienne".
L’harissa goûtée pour mon déjeuner décoiffe grave !
Mon briquet de fumeuse fût d’un grand secours (pas d’allumettes !).
Je pris soin de proposer mes mains à toutes fins utiles, elles me réclamèrent de photographier ces moments de "paix".
Parce qu'il y eut aussi des échanges "graves", le déclencheur fût la visite d’un chien de belle prestance, folâtrant par là, attitrer par l’odeur de nourriture.
Toutes avaient "peur" de l’animal, j’expliquais qu’autrefois il y en avait de nombreux chez nous.
Tant qu’elles s’agitaient, plus le risque de "conflit" était grand, qu’il fallait rester "calme", PARLER au visiteur canin, cela le tranquillise ainsi que le bipède humain ; je ne les ai pas convaincues, mais elles y penseront lors d’un prochain "contact" !
Passèrent un peu plus tard de chiens "taille basse" à la mise en plis impeccable, fût évalué le coût en temps de ces travaux, une plus réaliste évalua en EUROS.
Je leur narrais un souvenir de ma toute petite enfance transmis par mes parents bien sûr.
La chienne "tout petit format" et moi dans la cour rongeant chacune l’extrémité d’un os de bœuf après que j’eusse engloutie la soupe de la bête. J’avais faim, j’ai partagé !
Horrifiées elles furent ! Je dus sans agrément particulier rappeler mon âge, que l’époque n’était pas à l’opulence dans la famille et le pays.
Leurs réflexions furent d’une grande lucidité, à savoir, qu’elles avaient, que nous avions dans ce groupe la CHANCE de vivre loin d’un conflit armée, que nous avions des soins POUR COMBIEN DE TEMPS… encore un peu de liberté privée et que nous revenaient à toutes que cela continue à travers leurs enfants.
Les enfants que ma présence (pour les bambins de 2 ans) impressionne, je fus élevée au grade de mamie (âge toujours !). Toutes les autres femmes de la génération maternelle sont des TATAS.
Mamie allongée sur le gazon, les yeux clos, écoutait 2 petits murmurer leur exploit, "il" je ne sais lequel m’avait "toucher", je n’ai pas "réagi" ils eurent peur !
- Si, elle bouge !
Un peu plus tard l’un de ces mignons qui fuyait à la recherche de sa mère, "sortie d’école" me fut confié, l’attente auprès de moi se passa bien.
Inspirée, la veille je lui avais "papouillé" les bras et le dos, cela tisse des liens !

Commentaires

1. Le mercredi, juin 25 2008, 20:41 par Olivier Autissier

Je les comprends, je tremble sur place à l'approche d'un chien de taille conséquente.