La Mume (le blog)

8 heures de voyage d'une porte à l'autre.
Dépaysement garanti !
La Couvemaison qu'on se le dise est une construction écologique.
L'eau de pluie y est recyclée, heureusement il plut, un peu, car les visiteurs suffisamment nombreux risquaient bien de vider les cuves.
La piscine, une curiosité colorée


que nous vîmes très doucement passée d'un vert pétant à une nuance un peu plus terne certes mais ne précipitant pas les touristes dans le bouillon.
J'eus mes quartiers dans "l'alcôve marocaine" j'y dormis on ne peu mieux, pas un moustique fâcheux !
Tous ces gens il fallait les nourrir.
Chacun apporta, qui des gâteaux, qui des préparations en forment cakes salés ou de tartes, des fromages issus du Cantal.
Les sorbets à la pomme, aux framboises, à la noix de coco étaient en vente au grand machin du coin.
Nous assistâmes à la création d'un biscuit peut-être connu ailleurs sous un autre nom, mais en ce lieu il fût nommé "monocle"


une parfaite réussite de C. qui maitrise le gâteau yaourt beaucoup mieux que moi.
Ma mousse au chocolat ravit plus d'un palais, même que j'en dévoilai un ou deux mystères au maître queux breton.
H. œuvra au barbecue, surveillant AUSSI la couleur de la piscine…1er prix de l'intendance.
La raïma fut enfin installée.


C'est que la météo hésita longtemps entre gris humide et gris sec.
Quatre costauds ne furent pas de trop pour hisser cette jolie toile, coussins, couvertures, gâteaux, thé au jasmin, folâtrer, que ce fut pénible !!


Les babillages se déplacèrent vers la terrasse à la nuit tombante.
Du pain, des saucisses, des merguez, des côtelettes, ma terrine


le taboulé, la tatin de légumes, les fromages, des gâteaux encore…des vins de toutes les couleurs, des eaux, des bulles, des cafés, des thés…


Cette énumération pour dire ma grande joie de ce séjour là-bas avec eux tous !
Absorbés que nous étions par nous, là, ensemble, que le feu d'artifice ben ma foi, hein, ce fit sans nous !
Et le bal aussi !
Une visite dans un village voisin, une belle bâtisse


plus loin un jardin ravissant où poussent à leur grée toutes sortes de fleurs.


Et puis je repartis après une chasse au trésor impromptu pour notre hôtesse, un métro qui la laissa sur le quai alors que j'y étais embarquée !
Heureusement le téléphone portable existe !
Une partie de cache- cache ultime, et c'était la fin de ce doux séjour gascon.