La Mume (le blog)

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PAR OÙ CONTINUER ?

C’est qu’il y a des cartons partout, des neurones affolés, des jours qui passent…
Demain avec mon coéquipier du conseil de quartier nous irons au grand machin pour quelques courses liquides et solides, le pot de départ !
Je fus lundi chez ma médecin, son moral était en berne, le coffre de son véhicule fut « visité » et fort obligeamment vidé des choses qu’il contenait soit une veste prêtée par une copine, un cadeau destiné à une autre copine …je le recevrai par la poste quand il aura été renouvelé !
J’étais à la correspondance bus-RER quand trébuchant sur un ticket, le pied droit se déroba et élégamment je chus, une jeune femme et jeune homme vinrent à mon secours, aucun dégât n’est a déploré !
Hier le téléphone sonna, le portable, parce que le « fixe » est muet depuis une semaine.
La notaire voulait des documents complémentaires à propose du crédit relais, j’en profitais pour lui réclamer ceux destiner à la banque…rendez-vous mardi matin.
Je reprenais ma ronde d’un paquet à l’autre quand le bidule m’appela une nouvelle fois.
Un coup d’œil sur le cadran, reconnaissant le nom de la fille aînée de Madame Machin, je pensais illico « encore un deuil » c’est que je ne l’ai pas vu depuis janvier même si je prends des nouvelles régulièrement,
Elle me demanda ma participation dans la noria qui entoure sa mère et lui fait perdre le peu de « connaissance » qui lui reste.
Ben non dis-je, dans une semaine je ne serai plus en Ile de France, elle en fut fort marrie, s’enquit de mes enfants et de ma mère qui dans cette évocation parait bien plus fringante que la sienne.
Et là, mais il est bien tard l’argent fait encore la différence, et non, pas dans le sens supposé.
Il est rare pour mon frère et moi, demande des efforts et quelques sacrifices pécuniaires.
Chez eux les fins de mois sont certes plus zen.
L’héritage voilà leur grande question, qu’en restera-t-il avec tous ces gens autour de l’aïeule !
Je grince, aussi dois-je avouer que leur embarras qui les fit retrouver mon numéro de téléphone flatta ma vanité.
Yoni met une bonne et belle volonté à « éplucher » les volubilis, chaque matin elle en étouffe quatre à cinq, dès demain je viderai les deux balconnières.
Un lièvre attend de passer à la cocotte pour le diner que nous prendrons les trois mousquetaires et moi à la table de Voisineauxquatrechats, chez c’est devenu chez moi ABSULUMENT impossible !

Commentaires

1. Le jeudi, octobre 10 2013, 17:36 par samantdi

Bon courage, ces jours d'avant les déménagements, on ne sait plus où on habite !