La Mume (le blog)

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TITUS

Est arrivé dans la famille âgé d’un mois et demi, une petite chose blanche au poils vaporeux que je pris tout d’abord pour une « vraie » peluche ! Un croisement d’au moins quatre variétés canines où dominait le Loulou de Poménarie.
Ce jeune animal fit nos délices, il grandi en rejoignant la « meute » déjà formée dans la maison. Quelque temps plus tard une jeune chienne «variété ratier » Sophie pour nous s’ajouta à la colonie, qui comportait deux épagneuls et Poupoune d’une origine « basset artésien par ratier ».
Nous en étions à trois femelles et deux mâles…
Evidemment ce qui devait arriver, arriva très souvent, nous avions une nurseries permanente à notre grande joie, gaga que nous étions de nos canidés.
Nous avons déménagé pour accomplir nos tâches professionnelles plus près du « bon dieu » nos employeurs !
Nous avions avec nos chiens de très grands moments de fous rires dont celui-ci.
Un soir en hiver juste avant le dîner, nous étions plus ou moins vautré sur le canapé des chiens lorsque mon époux rentra passablement énervé, la porte claqua, les chiens filèrent aux abris, tous en boule enfuis dans les coussins. Titus collé près de Dom, la queue (du chien !) posée bien à plat sur la couverture, mon homme s’assoit pile sur cet attribut, l’animal pas du tout à l’aise tirait tout doucement pour récupérer son intégrité, Dom regarde son Titus, me regarde et nous explosons de rire, mon homme jauge le tableau et nous rejoint dans l’hilarité.
Titus nous permis un dîner détendu, grâces lui soit rendu.

Commentaires

1. Le lundi, février 11 2008, 21:12 par dom

Ce que tu oublies de dire c'est qu'entre le moment où les chiens (contents comme tout) ont entendu papa rentrer et la porte claquer, ils s'étaient tous précipités pour lui faire la fête et que Titus (le pauvre) dans son élan avait rencontré les jambes de papa qui lui avait filé un coup de pied au cul pour lui signifier tout son mécontentement. Ensuite le pauvre avec sa queue coincée ne savait plus comment réagir.